Une ange était enfermé dans une cage bien au fond, car elle n’était pas si jolie a voir. Cette petite bouille de gamine portais le nom de Naova, et c’était moi. On me mettait au fond, pour ne pas gâcher la vue des clients avec ma petite taille, mon petit age et surtout avec toutes mes blessures et ma trouille incontesté de tous ses maîtres. Owi, j’en avais une grande trouille de tous ses êtres qui se croyais supérieurs. Je n’avais toujours pas retrouver ma mémoire sur la mort de mes parents mais je savais qu’il était bien mort car je rêvais sans cesse de leur corps dans mes rêves voir cauchemars mais je ne voyais jamais comment il était mort. Ce qui était vraiment dommage et triste vu que je voulais le savoir et connaître les assassins de mes parents ou si c’était moi qui avait fait se carnage.
Oui, je me mettais a penser que c’était peut être moi qui les avait tuer et que c’était pour cela que je ne retrouvais pas cette mémoire, je voulais y croire mais d’un coté, cela me terrifiait de penser que je pouvais avoir oser tuer mes parents alors que je les aimais plus que tout. Je me morfondais sans cesse dans mon coin de ma cage, replier sur moi même. Je tenais mes jambes avec mes bras et j’avais pose ma tête derrière les genoux et ainsi personne ne pouvait me voir. Je tremblais comme une feuille et je laissais quelques larmes coulés sur mon visage a chaque fois que je pensé a mes parents qui était mort ou en pensant a ce que j’avais reçu comme blessure avec mon ancien maître. C’était sa passion de me faire mal surtout quand il a découvert que je m’auto-guérissait.
Je ne regardais même pas la porte lorsqu’elle se mit a sonner, j’étais si bien dans ma petite cage a attendre qu’on m’oublie et qu’on me laisse tranquille dans mon petit coin, seule à seule. Je ne souhaitais pas qu’on me dérange, je voulais pas bouger de ma petite place, je ne voulais pas avoir un autre maître car je ne voulais pas souffrir encore continuellement car j’avais beau me soigner, la douleur de l’acte était toujours aussi douloureux et je ne voulais pas le ressentir a nouveau. Je me mettais alors presque a prier dans ma tête en espérant que Dieu m’entende et qu’il exauce mon souhait.
* SVP Dieu, si vous m’entendez, faite que je devienne invisible, que personne ne me voit et me parle, je vous en prie, exaucer mon vœu *
Je regardais alors le sol puis finalement, doucement, je me mis a fermer les yeux restant dans la même position sans avoir bougé d’un poil. Petit à petit, le sommeil commençais a se faire ressentir.
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Mer 16 Juil - 10:56