Maudit soleil [Pv: Yria]

[Vais faire un post court pour l'intro]

Yria se promenait en chantonnant (super humeur, faut en profiter), se faisant aborder depuis un certain temps par un beau jeune homme qui cherche compagnie pour la nuit (il s'en prend très tôt, en général ça marche pas). Et en effet, Yria profite de son manque de vidange pour lui soutirer une glace au sang, un superbe apéritif et même, elle goûte au sang de l'inconnu. Le pauvre se plie aux quatre volontés de la vampire sans broncher mais c'est la crise quand elle le jette (c'est normal).

- Mais qu'est-ce qui te faut bordel?!!

"Lâche moi, ou je te refroidis!" (rageuse d'un seul coup, mode casse-pierre enclenché)

Apeuré et surpris, il s'en va sans rien ajouté. Yria quant à elle fonce, marchant vite et ne fait pas attention à la jambe de Junsuina qui trainasse. Elle tombe donc et saigne un peu du nez. Impulsive et colérique, elle retourne le banc d'un coup sec, dans le sens dossier banquette. Les gens autour passe en ignorant la furie en puissance.

Il était bien là à dormir lui, enfin somnoler plutôt et voilà que quelqu’un bouscule le banc. Instinctivement il plaça sa main sur la personne gelant une partit de son corps. Et oui il n’y peut rien c’est une vielle habitude. Puis il se releva, retirant la poussière qui aurait pu tomber sur sa blouse de travail.

Il leva son regard froid et inexpressif vers cette personne. C’était une femme. Mais plutôt à l’apparence gamine ce qui agassa rien qu’à cette vue notre médecin. Il sortit d’une de ses poche un petit paquer rectangulaire et en sortit une barre ronde qu’il porta à ses lèvres pour ensuite l’allumer à l’aide d’un petit briquer. Il pris deux trois bouffer et regarda de nouveau celle qui avait oser déranger son sommeil.

« Je peux savoir la raison qui t’as poussé à renverser ce banc ? »

Oula, valait mieux pas l’énerver encore plus. Sa voix était devenue sacrément froide. Il se pencha au sol et plaça sa main sur les pieds de la fille, les gelant ainsi. C’était pratique comme pouvoir. Elle avait donc les pieds gelaient et une partit du ventre. En claire : elle était coincer ici entre les mains de notre psychopathe.

« Tu veux jouer à un jeux ? »

Il tira une nouvelle fois sur sa barre de nicotine et laissa la douce fumer ressortir de son corps. Il laissa un silence s’installer quelque instant et repris une fois de plus la parole comme presque à chaque fois qu’il allait jouer à ce jeu.

« Les règles sont simple : Tu me répond et je t’évite les pires tortures. »

Et voilà. C’était clair. Elle l’avait froissé notre beau médecin. Bah tant pis pour elle. J’en ai marre moi de prévenir les gens de ne pas l’énerver. Faut m’écouter aussi, après ne venez pas dire que je ne vous avez pas prévenu car ça serait faux. Il se rapprocha donc de la jeune fille et murmura à son oreille.

« Je suis énervé par ta faute, alors je te conseil d’être sage. »

Puis il passa sa main dans les cheveux de l’étrangère pour finir par les lui tirait un bon coup sec histoire de lui faire mal. Et oui, il aime torturer, c’est pas pour rien qu’il a laisser sa mère brûler, son père s’empoisonner de façon douloureuse et son frère l’avoir fait crier sous l’acide.

« Nom, Prénom, Classe social, Race. »

Voilà. Il avait fait un tour rapide des informations primaires dont il pourrait avoir besoin. Bah oui, nom prénom, pour une éventuelle malédiction, race pour si il décide de passer par les poisons et classe social pour le fun. Enfin, si elle était dans une bonne classe peut-être elle serait épargné de toute autre tortures que celle subit jusqu’à présent.

Alors qu'elle n'avait même pas remarqué sa présence, un type la touche. Elle sent du froid et s'aperçoit bien vite que ce type l'avait gelée sur place!! Elle ne pouvait pas bouger ses jambes, prises dans la glace. Il sortit une cigarette et commençai à tirer dessus... quel calme, quelle froideur, ça faisait peur. Elle n'a pas peur d'abord, elle est toujours en rogne et son regard s'en ressent, mais là une pointe de peur est remarquable. Il pose deux questions et Yria ne répond pas, effrontée à l'extrême.

Mais les mots "pires tortures" commencent à bien foutre les jetons, il n'a pas l'air de plaisanter en plus. "Etre sage"? Et puis quoi encore? Les renseignements demandés seront délivrés d'une seule traite, elle essaye de se dégager énergiquement et il lui tire cheveux, Yria est passée directrice de la colère à la peur haineuse.

"Yria Sekiori, une vampire assez riche pour te faire tuer!"

Elle dit ça comme une vilaine menace mais elle a plus peur qu'autre chose. Elle a sacrément froid dis donc, c'est pas de la blague cette glace, elle se demande ce qu'elle va faire. En théorie, Yria était connue pour ses crises et il devait avoir entendu parler d'elle.

"Lâche moi! Tout de suite!"

Son regard plein de peur et de haine se fixe sur le regard froid du médecin psychopathe, elle sembleit complètement cinglée à ce moment.

La petite resta muette au deux premières questions. Aurait elle peur. Cela serait encore plus amusant. Mais voilà qu’elle ne gardera pas sa langue lier pour longtemps. Cette petite à eu peur au mot « pire torture » on dirait bien. Bah tant mieux. Il allait mieux s’amuser ainsi.

Et voilà, les premières informations tombe comme la pluie. Alors elle s’appelle Yria Sekiori. Bah inconnue au bataillon. C’est une vampire de haute classe apparemment. Tien mais lui lancerais t’elle une menace ? Oh que c’est amusant. Lui qui a le don de maudire les gens se fait menacer. Ce n’est pas ce genre de chose qui va lui faire peur. D’ailleurs un petit rire lui échappa.

« Crois moi, c’est pas ta minable menace qui va me faire peur, mademoiselle colérique. »

Elle lui cria de la lâcher de suite. Et si il ne le fait pas il lui arrivera quoi ? Elle le mènera en justice ? Bah un petit tour d’illusion à ces gens et pof, il sera innocent. De plus il n’a encore rien fait de mal. Oui j’ai bien dit encore. Il s’approcha une nouvelle fois d’elle et lui cracha la fumer de sa drogue dans le visage tout en lui dégelant le corps, mais pas le pied, et bien sûr en prenant soin de lui gelait les mains.

« Et si je ne te lâche pas de suite ? »

Il le lui avait susurré cela aux oreilles et d’une façon plutôt alléchante. Mais non ne te trompe pas petite Yria, il ne te veut pas. Il a horreur de ces femmes qui ont l’apparence de gamine. Il recula et réinstalla correctement le banc pour s’y adosser. Il laissa un silence pesant certainement pour elle se réinstaller. Il termina ça clope et en prit une nouvelle. Il recommença son rictus. L’allumer, prendre une première bouffer, puis laisser le poison ressortir puis prendre encore une fois la parole. Petit manége qu’il adorait.

« Dit moi, que connais tu des poisons ? »

Et bien oui, la réponse à cette question aller être décisif pour son sort à cette brune. Mauvaise réponse est égale à mauvais sort, bonne réponse est égale à bon sort. Alors qu’allait elle choisir. Il l’a fixa, complètement désintéresser de ses formes et d’elle qu’il pris quand même la peine d’analyser. Si elle était pas trop mal, peut-être qu’il pourrait l’utiliser pour un plaisir divin, m’enfin il en doutait fort, car elle ne semblait pas du tout de son genre. Il verrait bien plus tard, quand elle aura décider de son sort.

[Tu es bien conscient que je laisse largement faire... mais ça va changer.^^]

Yria recommençait à s'énerver, mais intérieurement cette fois-ci. Personne ne l'avait humiliée en public de cette façon, elle rageait, sa colère bouillonnait, elle respirait vite. Il la narguait en plus... pas bon pour la cause générale ça. Avec sa grande rapidité de déplacement, elle pouvait faire prendre de l'énergie cynétique au bloc de glace qui entravait ses mais et casser le bloc sur ses pieds. Fuir ne servirait à rien, il semblait trop sur de lui. Mais elle n'allait pas se laisser faire comme une poupée non plus. L'apparence gamine n'allait aps durer trop longtemps, le mode "petite maison dans la prairie" finissait.

Citation :

« Dit moi, que connais tu des poisons ? »

Qu'en savait-elle? Rien! Et elle se fichait éperdument du cours possible. Elle emploie alors sa grande vitesse et le médecin cinglé n'a le temps que de la voir assise assise à côté de lui, se débarrassant des morceaux de glace qui aurait bien finit pas l'engourdir. Elle tout de suite assise, d'une voix froide et posée. Les gens font toujours semblant de ne rien voir.

"Tai-toi et écoute. J'en ai rien à f***** de tes poisons, joue au petit chimiste tant que tu veux... J'ai comme l'impression que tu es trop dangereux, je n'ai pas d'avance à fuir et je ne le ferais pas. J'ai pas peur de me battre..."

On aura pu croire à de la schysophrénie, tant elle était différente, mais c'était toujours elle, même dans sa tête.

"C'est par un coup de colère que j'ai bousculé ton cher banc, ça ne vaut pas la peine d'être si cruel. (elle ne se gêne pas de son côté) Je vais me forcer, et m'excuser."

"Je m'excuse, voilà. Maintenant je te trouve très inéressant, je ne te frapperais pas un poil. Mais si tu te butes, on est dans une impasse. Et je te cognes si vite que tu ne vas rien voir venir, et je recommencerais autant de fois qu'il le faudra."

"Que décides-tu?"

Elle se méfie et surveille du coin de l'oeil, prête à déguerpir tel un coup de vent.